Jupes portefeuille sari Un cycle de vie

Une promenade fascinante dans le monde de la manifestation d’Olga Zakharova
Vous nous connaissez et notre obsession pour la conception de la typographie. Alors pourquoi ne pas approfondir ce monde, avec l’aide d’un illustrateur très talentueux, qui a attiré notre attention tout en parcourant le marché créatif très ingénieux. Si vous connaissez le niveau de qualité sur le site, vous comprenez à quel point il est difficile de se démarquer.
Eh bien, nous avons tellement aimé Olga Zakharova que nous voulions en savoir beaucoup plus sur la façon dont elle crée des polices aussi charmantes, qui semblent se fondre sans effort avec l’origine sophistiquée qu’elle choisit pour chacun d’eux. Tout comme prévu, il y a beaucoup de travail et de dévouement derrière chaque illustration, et l’attention aux détails est quelque chose qui ne sait pas tous comment maîtriser. Mais Olga est l’une de ces personnes qui transforment les détails en vrai art. Lisez l’interview et voyez ce que nous indiquons?
OANA: Veuillez nous en dire beaucoup plus sur vos antécédents d’art et de design. Qu’est-ce qui vous a fait devenir designer?
Olga: Je ne prévoyais jamais de devenir designer ou un illustrateur. J’ai adoré dessiner quand j’étais enfant, mais je n’ai jamais appris à le faire de manière appropriée et j’ai toujours pensé que je ne suis pas assez bon dans ce domaine. J’ai donc choisi un chemin différent – je suis devenu journaliste, j’ai travaillé pendant plusieurs années en tant que journaliste sportif dans l’un des plus anciens journaux sportifs de Russie. Ensuite, j’ai décidé de changer de profession, j’ai obtenu mon deuxième diplôme et devenu psychologue. Mais mon conjoint et moi avons pris la décision de quitter la Russie et sommes allés vivre en Thaïlande – il était difficile de continuer ce que je faisais avant parce que les deux spécialités exigent que la langue russe soit parlée. À cette époque, nous avons rencontré certaines personnes qui gagnaient de l’argent en créant des illustrations pour les sites Microstock. Je pensais que cela ne ferait pas de mal d’essayer, de lire quelques informations sur les illustrations vectorielles sur le Web, d’ouvrir l’illustratrice et de créer 10 vecteurs pour un examen. Je l’ai passé dès le premier coup et c’est ainsi que mon voyage a commencé.

Après cela, j’ai passé des centaines d’heures à découvrir le design, l’illustration, les logos, les couleurs, les formes, – généralement tout ce qui est en quelque sorte connecté aux arts visuels en ligne. Je crois que l’éducation est un processus à vie, donc j’essaie d’apprendre autant que possible chaque fois que j’en ai l’occasion. Et je pense que je deviens toujours designer.

OANA: Comment ou quand avez-vous commencé à illustrer au niveau professionnel?
OLGA: Il y a environ deux ans, lorsque j’ai commencé à travailler non seulement pour les sites Microstock, mais pour les clients privés et les entreprises.
Oana: D’où vient votre inspiration?
OLGA: Pour moi, l’inspiration est en quelque sorte similaire à l’amour – c’est une sorte de chimie étrange qui est si difficile à décrire et en même temps si facile à ressentir quand elle est là. Il a absolument quelque chose à faire avec passion, désir de parler à travers le dessin ou le design, croyant en vos capacités. Et, bien sûr, le bon cappuccino aide aussi.

Oana: Comment décririez-vous votre style?
Olga: Organic, avec des relations harmonieuses entre l’espace négatif et les objets et un peu d’humour.
OANA: Quels outils utilisez-vous? Allez-vous à 100% numérique ou y a-t-il du papier?
Olga: Ma «boîte à outils» est composée de crayons mécaniques, de stylos à encre (différentes tailles), de gomme, de table légère, de scanner, de stylo Wacom Pen et de tablette de crayon, MacBook. J’utilise également du papier «de qualité imprimante» régulière. Je voyage beaucoup, donc j’ai tendance à n’avoir que des choses que j’utilise.
Je commence toujours par un croquis papier. Les premiers croquis de miniatures sont normalement réalisés par l’encre stylo (donc je ne ressentirai pas d’envie de corriger toutes les lignes), puis je passe à la version plus propre que je fais avec un crayon mécanique, que je fais la version encre et seulement après cela je scanne ce. Je dirais que je passe 50% de temps à travailler Analog. Pour moi, il est beaucoup plus facile de corriger beaucoup de choses sur le papier. Récemment, j’ai partagé mon processus sur le blog de mon site Web.

OANA: Y a-t-il quelque chose que vous évitez spécifiquement dans vos illustrations?
Olga: Dessiner des gens. Je peux le faire, mais je ne suis jamais très ravi du résultat. Avant que je sois conscient de cela et je voulais même aller dans des cours «Dessin d’anatomie», mais j’ai réalisé qu’il y avait tellement de choses que je peux dessiner et y prendre plaisir en même temps, que je ne fais pas Il faut passer ce temps à essayer d’apprendre ce que je n’aime pas.

Oana: Quel a été le travail / illustration le plus difficile sur lequel vous ayez jamais travaillé?
Olga: Probablement mon premier travail que j’ai fait pour un client. La conception elle-même n’était pas si difficile – c’était une infographie dans une entreprise de taxi qu’ils étaient censés montrer aux investisseurs pour attirer beaucoup plus d’argent. Mais le client a fait de ma vie un enfer vivant pendant un certain temps. Cependant, c’était une leçon formidable: n’acceptez jamais de travailler avec un client, si dès le début, vous pensez que vous n’êtes pas sur la même longueur d’onde (et probablement même pas sur le même livre, Hell, vous êtes dans la bibliothèque différente !). Tout était censé être fait «hier», chaque fois que je lui montrais un design, il dirait quelque chose comme «c’est merveilleux, mais nous devons changer (énorme liste de corrections à suivre)».
TechniquesL’une des illustrations les plus difficiles que j’ai faites était une carte de Paris. Je voulais tout dessiner à la main, donc j’avais besoin de tout faire à une certaine échelle et j’ai donc besoin d’utiliser peu de papiers A4. Je voulais aussi maintenir un certain niveau d ‘«occupation» tout au long d’une illustration et c’est difficile à réaliser lorsque vous prenez soin des cartes, car vous aurez toujours beaucoup d’objets intéressants en un seul endroit et aucun d’entre eux dans les autres . Mais une fois que je me suis donné une licence créative et que je commence à prendre des décisions audacieuses concernant les endroits que je dessinerais et que je sauterais, ça s’est bien passé. Créer des cartes est l’une de mes plus grandes passions et j’aimerais la poursuivre davantage.
Oana: Des graphistes que vous admirez?
Olga: Si je les nommais tous, ce serait une liste substantielle, donc j’en nommerai quelques-uns. Von Glitschka – J’ai toujours admiré son humour et sa personnalité qui découlent de toutes ses illustrations. Steve Simpson – Terrible professionnel, aime comment il utilise l’espace, les textures, les couleurs, je peux regarder ses illustrations pendant des heures. Mary Kate McDevitt – Artiste de lettrage exceptionnel, qui parvient à mélanger très bien différents styles dans une illustration. Linzie Hunter, qui fait des lettres de lettres formidables et très compliquées, a utilisé la texture et la couleur de très sagement.
OANA: Des mots de recommandations pour tout individu qui commencent juste comme illustrateur / graphiste?
Ne soyez pas terrifié d’être différent. Essayez de ressentir quelque chose lorsque vous créez des illustrations ou des conceptions – le monde a déjà trop de choses vides, ne créez pas plus. Essayez de mettre vos émotions dans ce que vous faites et cela vous rendra meilleur. Pratiquez chaque jour et partagez votre travail même si vous n’êtes pas ravi à 100% – l’illustration ne concerne pas la perfection, c’est le développement et le processus. croyez en vous. Si vous ne trouvez pas quelqu’un qui le fera, chaque artiste a besoin d’un système de soutien, je ne deviendrais pas qui je suis et je ne serai pas où je suis sans mon mari, qui me dit toujours que je peux faire quoi que ce soit si je vraiment envie de. Vous pouvez faire n’importe quoi aussi, j’y crois vraiment.

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